Tour d'horizons

La ville de...

Jean-Luc Blanc, ses lieux de convivialité préférés à Marseille.

Marseille la bouillonnante, l’insolente. Jean-Luc Blanc, enfant des Réformés, aime passionnément sa ville. Incarnant la cinquième génération du célèbre torréfacteur marseillais Henry Blanc, des Cafés Noailles et occupant douze années durant la fonction de vice-président de la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Aix-Marseille-Provence, il connaît quelques bonnes adresses à Marseille.  

Épicurien dans l’âme, il aime se poser le midi sous la tonnelle de La Villa pour déguster une dorade, des pâtes aux clovisses. Son plat préféré ? Indéniablement les pâtes al dente à l’ail. Son coup de cœur ? La pizza ou plutôt les pizzas déclinées à l’envi dans les quartiers de Marseille, celle qui fleure bon le maquis corse de Nulle Part Ailleurs, la divine bourgeoise de Massimo sur les hauteurs de La Blancarde ou plus au sud, celle de Chez Zé dans le quartier des Baumettes. 

Le matin en semaine, s’il ne rend pas visite à ses chefs d’agences, il examine les cours de l’Arabica et du Robusta, en dégustant des cafés bien serrés au siège du Groupe et de l’usine à La Capelette.

Café torréfié @NBDC

Le midi, il rend visite à Madame Fifi ou s’attable volontiers chez Hassan à Pont-de-Vivaux pour savourer son couscous. Sur le Vieux-Port, il compte également quelques bonnes tables à commencer par l’incontournable OM Café, ou le plus discret Alcyone à l'Intercontinental. Ami des chefs Lionel Levy et Gérald Passedat, deux hommes passionnés, Jean-Luc Blanc ne résiste pas à leurs tables. Au-delà de la cuisine, ce sont les rencontres, les amitiés qui passent au premier plan.

Abonné au stade, Le Petit Plat est l’escale incontournable les soirs de matchs. Quand le soleil s’évanouit dans la Méditerranée, l’heure de l’apéritif venue, il aime prendre de la hauteur depuis le balcon de La Caravelle, depuis le Dantès Skylounge du Sofitel. Vue imprenable et panoramique depuis le rooftop du Rowing Club et du Cercle des Nageurs, dont le restaurant vient de rouvrir. Ambiance et convivialité sont ses maîtres-mots, depuis La Rade de l’Estaque, au restaurant du Tennis Club de Marseille, où il se rend le dimanche en famille. À Endoume, il apprécie retrouver ses amis au bar de L’Avenir.

Fan des petites épiceries fines de la rue Sainte, il s’arrête volontiers au Four des Navettes pour une pompe à l’huile, avant de redescendre à La Vague Gourmande pour savourer leur cake aux fruits. À la nuit tombée, vous aurez des chances de le croiser au cabaret de La Commanderie. Fan absolu de la programmation du théâtre Toursky, il garde encore en mémoire, le spectacle de Candlelight, un concert de piano à la lueur des bougies…

De l’émotion à l’état pur. 

Nathalie Bureau du Coulombier